La gamme s’élargit avec un Optimum de 28 pieds… qui a tout d’un grand !

Notre architecte a encore frappé avec un dessin superbe, qui exploite à fond les atouts de la carène scow pour offrir une habitabilité et des performances hors normes. Jugez par vous-même….

Esquisse de l’Optimum 28

Certes ce nouveau plan est plus ramassé que le 10.80 mais reste très toilé et tout aussi attractif : l’Optimum 28 ne transige ni sur la puissance, ni sur l’espace de vie et les aménagements, encore moins sur la sécurité… Et pas davantage sur la luminosité.

La construction CP époxy bien échantillonnée et les lests proposés (voir ci-dessous) augurent de navigations rapides et sereines, car toujours plus à plat que la majorité des monocoques existants !

Le projet attire les passionnés de petite croisière et pourrait tenter les candidats au grand départ. Ces derniers y voient la possibilité d’avoir un bateau polyvalent, très habitable avec ses 3 cabines, son cabinet de toilette et sa soute ! Mais aussi doté d’une grande capacité de stockage, le tout pour un budget assez modéré.

D’autant que dans ce type de format, la construction amateur, du premier bordé à la mise à l’eau, est facilitée par la forme de la carène. Un kit de construction est d’ores et déjà disponible et pourrait attirer les marins-constructeurs. En effet le bateau peut être construit à divers stades de finition : en kit, coque pontée nue, et bien entendu complet !.

Les caractéristiques de l’Optimum 28 :

  • Longueur de coque : 8 m 56 / 28′
  • Bau : 3 m 15
  • Masse estimée lège : 3 tonnes
  • Masse estimée en charge (croisière) : 4 tonnes
  • 3 possibilités de tirant d’eau :
    • TE long : quille 2m30
    • TE court : quille 1m90 (+ 200 kg)
    • Quille relevable : selon mécanisme
  • Couchages : 2 à 3 cabines
  • Motorisation : 10 à 20 CV selon programme
  • Surface au près GV à corne : 73 m2
  • Surface au portant : 135 m2
  • Ratio au près : 18 m2 par tonne
  • Ratio au portant : 33 m2 par tonne

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Sailscow ou catamaran : la question est posée…

Quelle idée de comparer un monocoque et un multicoque, ce sont deux philosophies qui s’affrontent ! Certes, mais à bien y regarder, avec ses carènes atypiques, la gamme Sailscow s’affirme comme une véritable alternative entre mono et multicoque !

A priori, la comparaison n’est pas possible. Un monocoque est un monocoque. Un multi, un multi. La navigation et la philosophie de vie ne sont pas tout à fait les mêmes. Enfin, jusqu’à maintenant…

Aujourd’hui en effet, les Sailscow peuvent être perçus comme un compromis entre les voiliers de série usuels et les premières gammes de catamarans.

Osons quelques comparaisons pour mieux comprendre :

Bref, on ne cherche pas à convertir les pro-multicoques – on en connaît parmi nos amis, on ne voudrait pas les perdre ! Mais quand même… ça donne à réfléchir.

  • un Sailscow 10.80 neuf coûtera toujours moins que le plus modeste des catamarans.
  • dans un petit catamaran on trouve généralement 3 ou 4 cabines… Certes, mais sur le Sailscow aussi (dès la version 10.80) !
  • côté volumes intérieurs et espaces de vie sur le pont, le catamaran sera indétrônable…
  • côté « navigation à plat » idem, le Sailscow sera quand même battu par le cata…
  • … mais il sera plus performant au près,
  • plus agréable à barrer (les sensations, ça compte !)
  • … et surtout plus sécurisant dans les mers fortes (grâce à une quille profonde, fixe ou relevable selon le programme) !
  • Côté équipements, maintenance et coûts au port, le Sailscow coûtera bien moins cher, ne serait-ce que parce qu’il n’a qu’un moteur à alimenter et entretenir, au lieu de deux… (pour en savoir plus sur toutes les économies liées à cette carène, suivez ce lien).

Allez, dites nous ce que vous pensez de ce comparatif !