
Roof et pont du Sailscow 37 sont prêts à être stratifiés !

Une révolution de la plaisance
L'alternative entre monocoque et multicoque
Nom de la marque qui révolutionne la plaisance
L’architecte Gildas Plessis a encore frappé avec un dessin superbe, qui exploite à fond les atouts de la carène scow pour offrir une habitabilité et des performances hors normes. Jugez par vous-même….
Certes ce nouveau plan est plus ramassé que le 10.80 mais reste très toilé et tout aussi attractif : l’Optimum 28 ne transige ni sur la puissance, ni sur l’espace de vie et les aménagements, encore moins sur la sécurité… Et pas davantage sur la luminosité.
La construction CP époxy bien échantillonnée et les lests proposés (voir ci-dessous) augurent de navigations rapides et sereines, car toujours plus à plat que la majorité des monocoques existants !
Le projet attire les passionnés de petite croisière et pourrait tenter les candidats au grand départ. Ces derniers y voient la possibilité d’avoir un bateau polyvalent, très habitable, avec une grande capacité de stockage, le tout pour un budget assez modéré.
D’autant que dans ce type de format, la construction amateur, du premier bordé à la mise à l’eau, est facilitée par la forme de la carène. Un kit de construction est d’ores et déjà disponible et pourrait attirer les marins-constructeurs. Le bateau peut être construit à divers stades de finition : en kit, coque pontée nue, et bien entendu complet !.
Divers angles de vue – images de synthèse
Intéressés ? Curieux ?
Appelez nous pour en savoir plus !
Quelle idée de comparer un monocoque et un multicoque, ce sont deux philosophies qui s’affrontent ! Certes, mais à bien y regarder, avec ses carènes atypiques, la gamme Sailscow s’affirme comme une véritable alternative entre mono et multicoque !
A priori, la comparaison n’est pas possible. Un monocoque est un monocoque. Un multi, un multi. La navigation et la philosophie de vie ne sont pas tout à fait les mêmes. Enfin, jusqu’à maintenant…
Aujourd’hui en effet, les Sailscow peuvent être perçus comme un compromis entre les voiliers de série usuels et les premières gammes de catamarans.
Osons quelques comparaisons pour mieux comprendre :
Bref, on ne cherche pas à convertir les pro-multicoques – on en connaît parmi nos amis, on ne voudrait pas les perdre ! Mais quand même… ça donne à réfléchir.
Allez, dites nous ce que vous pensez de ce comparatif !
Au fil de nos échanges avec les plaisanciers qui nous contactent, nous avons capitalisé sur les commentaires des uns et des autres. Prenant en compte certains points de vue, nous avons finalisé la carène du Sailscow 10.80.
Des images valant mieux qu’un long discours, je vous laisse apprécier la configuration définitive de ce qui n’était encore en novembre qu’un concept.
Nous avions présenté le projet avec l’option quille relevable. Ici on voit cette fois la quille fixe livrée en standard (de type pied d’éléphant).
En voyant la carène de côté, on comprend mieux pourquoi le bateau sera une luge au portant et un couteau aiguisé au près, quand il se calera sur ses bouchains !
Le bateau reste comme dans son concept initial très lumineux à l’intérieur. L’extérieur n’est pas en reste avec l’inédite plage avant – qui peut accueillir l’annexe ou des bains de soleil – et un cockpit très convivial pour les soirées entre amis.
Ces derniers jours, un nouvel ajustement a été apporté sur le capot de descente, incliné, qui ne faisait pas l’unanimité de nos premiers contacts. Voici ce que cela donne avec une descente « classique ».
La carène a également été optimisée. Les modifications apportées sont surtout structurelles, du fait de potentiels vitesse supérieurs à ceux escomptés initialement et aux gros efforts auxquels la quille sera soumise. Ces améliorations induisent quelques surcoûts : le prix de la sécurité, sur laquelle on ne transige pas.
Qu’en pensez-vous ?