Armel Tripon, parrain du chantier Sailscow !

Le monde de la course au large a toujours été un laboratoire pour celui de la croisière. Ce n’est pas un hasard si parfois ces deux mondes se croisent… pour le meilleur !

A l’heure où Armel s’engageait sur le dernier Vendée Globe, à bord d’un bateau à carène de scow, le chantier Sailscow commençait tout juste à exister. C’est dire qu’on a suivi avec passion ses magnifiques performances dans les mers du Sud. A bateau exceptionnel, marin exceptionnel…

A l’occasion d’une rencontre chez notre architecte, nous avons échangé avec Armel sur notre projet de lancer une gamme de scows de croisière qui allie confort, stabilité, sécurité et performance à la mer. Si le coureur océanique a besoin de matériaux techniques pour la légèreté et la rigidité, le plaisancier lui pense de plus en plus à la protection de la planète et s’inquiète de son impact écologique. Nous mêmes navigateurs et constructeurs, nous sommes forcément d’accord !

C’est pourquoi nous avons créé un concept hybride qui s’avère une vraie alternative entre mono et multicoque. Et nous avons choisi des modalités de construction plus respectueuses de l’environnement que celles des chantiers produisant des coques « polyester », difficiles à recycler. En effet le choix de construire la coque et tous les aménagements en bois contreplaqué (CP) et d’utiliser une résine à la fois performante et bio sourcée (Greenpoxy de Sicomin), réduit notre impact écologique, avec à la clef un bilan carbone dix fois moindre que celui d’un voilier en polyester de même taille.

Armel Tripon, notre parrain fan de scow

Les mots d’Armel

« C’est avec plaisir que je participe modestement au lancement de ce superbe scow de croisière ! Cette carène que j’ai pu tester en course autour du globe m’enchante forcément. Et je m’imagine sans mal en croisière sur un scow pour profiter pleinement  de la performance en navigation, avec une facilité de passage dans la mer mais également de la convivialité et le confort incroyable au mouillage que procure le scow. J’ai hâte de l’essayer ! » Armel

Pas de meilleure motivation, avec de tels encouragements, pour faire de nos bateaux les ambassadeurs d’un nouveau mode de vie en mer !

CONTACTEZ-NOUS

Thierry DEBYSER – Directeur Commercial – 06.89.82.23.42 – email : sailscow@gmail.com

Jean-Michel LINCK – Directeur Général – 07.67.41.93.60 – email : sailscow@gmail.com

Jean-Michel Linck à la barre du puissant Moana au départ de Fernando de Norhona (Brésil)

A propos du chantier Sailscow

Sailscow est un chantier dirigé par Jean-Michel Linck. Marin, coureur et constructeur, il a consacré sa vie à sa passion pour la mer. Pêcheur dès l’enfance, puis régatier, préparateur de course, compétiteur (Fastnet, RORC, Withbread…) puis convoyeur professionnel (42 transats dont 9 en solo), il a dirigé une société de convoyage en Normandie, ainsi que plusieurs chantiers de construction en Méditerranée et à La Rochelle.

Départ de la Corogne pour retour de transat sur son propre voilier

Habitué des convoyages de grosses unités (50 à 65 pieds Dufour notamment, mais aussi SunFast 52, Standfast 65) il a posé sac à terre en 2000, pour s’installer à La Rochelle. Il se tourne alors vers la construction comme chef de chantier de gros projets mettant en oeuvre des structures en sandwich, carbone etc (dont Liz, catamaran de luxe de 24 m).

Puis il crée sa propre entreprise, en produisant des bateaux de course pointus et à l’unité (proto 6.50 à quille pendulaire, proto 9.50 sur plan Magnen etc). Il a dirigé la réalisation du premier pont en sandwich du constructeur RM, et mis en place le processus de production.

Il est aussi le premier, avec son chantier Fusion France, à avoir assemblé un catamaran fabriqué totalement en infusion, le Fusion 40 « Kangaroo », qui a tourné autour du globe de 2005 à 2010 et continue de naviguer vaillamment en Australie (découvrez sa première sortie dans les Pertuis Charentais, ça date un peu mais c’est parlant !).

Fusion 40
Catamaran Fusion 40 : Kangaroo au port

Curieux de toutes les techniques de construction il a créé son propre bateau, en sandwich CP epoxy, avec l’architecte nantais Gildas Plessis. Une carène de 8.70 m, à multiples bouchains, stratifiée intérieur/extérieur et donc très raide, à l’étrave déjà large… qui se révèle très efficace. Il a mené Moana tambour battant avec sa femme à près de 7 noeuds de moyenne dans un tour de l’Atlantique élargi (via le Brésil).

Moana en année sabbatique
Moana au mouillage aux Saintes

C’est lors de la Transat retour, en solo, qu’il imagine un bateau de plaisance inédit, sur les formes d’un scow. Avec la complicité de Gildas Plessis, les plans se succèdent et le projet prend forme. Le concept évolue progressivement et révèle tout son potentiel, puisqu’il combine performances, facilité, sécurité et confort.

De fil en aiguille, le premier scow de grande croisière prend forme et se révèle une vraie alternative entre mono et multicoque (voir ici) ! Ce cocktail inédit mature au fil des échanges avec les partenaires pressentis pour la construction de la coque, des aménagements, du gréement… Comme pour tous les bateaux, la construction du Sailscow est un assemblage de savoir-faire, et donc un travail d’équipe !

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L’avis des experts sur cette carène inédite

A l’heure où l’architecture navale est en pleine mutation, Gildas Plessis et Jean-Michel Linck lancent un voilier à la carène inédite, et pourtant inspiré de bateaux légendaires, les scow. Cette nouveauté a d’emblée été saluée par les journalistes du milieu, enthousiasmés pour ses multiples vertus. Et de fait, à la suite des victoires remportées par ce type de carènes dans les dernières Transats, la « scow mania » est en train de déferler sur la France !

  • Voile Mag – « Le plan a de la gueule »

« Gildas Plessis (…) est allé beaucoup plus loin dans la quête de volume et de puissance, comme l’y autorisait la formule du scow ».

« Une formule miraculeuse, puisqu’elle permet des performances remarquables au portant et offre un volume de vie incroyable ».

  • Voiles et Voiliers – « Très intéressant plan signé Gildas Plessis »

« Les grands chantiers restant très frileux vis-à-vis des carènes de type scow, ce sont les petits qui s’y collent »

« Des bateaux rapides et confortables car peu gîtards (…). Une taille raisonnable mais suffisante pour naviguer loin et longtemps ».

« Cette carène offre aussi d’intéressants volumes à exploiter à l’étrave… et les couchages sont (…) comme à la maison ! »

« Enfin les polaires de vitesse prédisent des moyennes au dessus de 10 noeuds, beaucoup mieux que la concurrence ».

  • Voilier.com – « Le Scow, une super idée ! »

« Jean-Michel Linck n’est pas un inconnu dans le monde de la construction navale. Navigateur et constructeur de nombreux voiliers et prototypes (Class 9.50, Mini 6.50, catamarans Fusion…), il a souvent travaillé avec l’architecte Gildas Plessis ».

« Les volumes à l’avant ne demandent pas de construire un voilier trop large. Le Sail SCOW 37 sera moins large que la concurrence. Il sera équipé au choix d’une quille relevable pivotante ou bien d’une quille fixe »

« Côté aménagement, l’étrave ronde permet tous les délires… »

 « La carène Scow est une évidence en mer pour les performances et en croisière pour le volume habitable. (…) Nous espérons que ce voilier va voir le jour, tant il est excitant sur le papier »