Armel Tripon, parrain du chantier Sailscow !

Le monde de la course au large a toujours été un laboratoire pour celui de la croisière. Ce n’est pas un hasard si parfois ces deux mondes se croisent… pour le meilleur !

A l’heure où Armel s’engageait sur le dernier Vendée Globe, à bord d’un bateau à carène de scow, le chantier Sailscow commençait tout juste à exister. C’est dire qu’on a suivi avec passion ses magnifiques performances dans les mers du Sud. A bateau exceptionnel, marin exceptionnel…

A l’occasion d’une rencontre chez notre architecte, nous avons échangé avec Armel sur notre projet de lancer une gamme de scows de croisière qui allie confort, stabilité, sécurité et performance à la mer. Si le coureur océanique a besoin de matériaux techniques pour la légèreté et la rigidité, le plaisancier lui pense de plus en plus à la protection de la planète et s’inquiète de son impact écologique. Nous mêmes navigateurs et constructeurs, nous sommes forcément d’accord !

C’est pourquoi nous avons créé un concept hybride qui s’avère une vraie alternative entre mono et multicoque. Et nous avons choisi des modalités de construction plus respectueuses de l’environnement que celles des chantiers produisant des coques « polyester », difficiles à recycler. En effet le choix de construire la coque et tous les aménagements en bois contreplaqué (CP) et d’utiliser une résine à la fois performante et bio sourcée (Greenpoxy de Sicomin), réduit notre impact écologique, avec à la clef un bilan carbone dix fois moindre que celui d’un voilier en polyester de même taille.

Armel Tripon, notre parrain fan de scow

Les mots d’Armel

« C’est avec plaisir que je participe modestement au lancement de ce superbe scow de croisière ! Cette carène que j’ai pu tester en course autour du globe m’enchante forcément. Et je m’imagine sans mal en croisière sur un scow pour profiter pleinement  de la performance en navigation, avec une facilité de passage dans la mer mais également de la convivialité et le confort incroyable au mouillage que procure le scow. J’ai hâte de l’essayer ! » Armel

Pas de meilleure motivation, avec de tels encouragements, pour faire de nos bateaux les ambassadeurs d’un nouveau mode de vie en mer !

Surprenez-vous ! Offrez-vous une révolution…

S’il n’est pas le premier à tourner le dos aux étraves pointues, le chantier SailScow extrapole les étraves rondes et s’inspire des carènes de scow du 19ème siècle. Son modèle phare, le Sailscow 37 de 10.80 m, rend accessible au plus grand nombre le plaisir de la voile. Comment ? En vous offrant plus de cap, plus d’habitabilité, de sécurité, de stabilité et de facilité de manoeuvre !

Inspiré par l’histoire mais revisité grâce aux moyens techniques et aux équipements d’aujourd’hui, l’Optimum 10.80 est plein de (bonnes) surprises. S’il fallait résumer en un mot sa différence, ce serait le VOLUME… et tous les bénéfices qu’on en tire !

Plus de cap, plus à plat : vive l’efficacité !

L’étrave plus carrée que ronde et les bouchains de la coque diminuent drastiquement la gîte et permettent de faire un bien meilleur cap que les voiliers traditionnels, condamnés à tirer de longs bords.  Une gîte limitée est un facteur de sécurité et d’aisance pour tous. Cela permet aussi, quand on est joueur, de porter davantage de toile, plus longtemps !

Ces facteurs permettent d’aller plus vite d’un point à un autre, d’autant que la carène du bateau le rend plus enclin à escalader la vague qu’à la fendre ! Bien entendu le potentiel vitesse, au portant, s’exprime encore mieux.

Une habitabilité surprenante !

Grâce à ces formes, le volume intérieur permet de proposer de 2 à 4 cabines dans un bateau de moins de 11 m. C’est totalement inédit !

Fini le traditionnel lit breton à l’avant, rarement confortable. Vous disposez soit d’une cabine propriétaire digne d’un yacht de luxe, soit de deux cabines confortables, avec de vrais lits « comme à la maison » de 140 x 200 cm.  Vous achetez vos draps et housses de couette au format standard, c’est quand même mieux que sur mesure !

A l’arrière vous pouvez opter pour deux cabines, l’une double, l’autre équipée de lits superposés ou pour une cabine double et une soute – qui sert alors à stocker du matériel ou des vivres, vélos etc. Cette dernière option est bien sûr à envisager pour la grande croisière.

Enfin, et c’est inédit : l’ergonomie du bateau est tellement optimisée qu’on y ajoute facilement deux cloisons étanches aux extrémités avec :

  • à l’avant un crash box moussé qui laisse aussi de la place pour stocker les voiles
  • à l’arrière une autre cloison étanche – située en avant des mèches de safrans – ce qui réduit drastiquement le risque de couler en cas de collision ou d’attaque d’orques… puisque cela devient un vrai sujet :-/

L’espace facilite la vie en mer comme à terre !

Le carré et la cuisine sont aménagés pour accueillir 8 à 10 personnes. Diverses astuces facilitent la circulation et le partage de l’espace de vie (comme l’îlot central, les wc séparés de la salle de bains, ou le roof panoramique qui ouvre l’espace).

Par ailleurs, la plage avant est forcément beaucoup plus large que sur les autres voiliers : c’est un espace en plus qui permettra de stocker l’annexe par exemple ou de s’offrir un espace bain de soleil, au mouillage ou au port !

Disposer de plus de volume, ça simplifie la vie :  les déplacements sur le pont sont moins acrobatiques, on stresse moins pour les enfants ou les invités. Cela facilite aussi l’accès aux ports et aux mouillages, puisque le tirant d’eau limité à 1,90m permet de fréquenter la très grande majorité des ports (au delà de 2 m, c’est souvent plus  compliqué). Mais nous ne nous arrêtons pas là : nous poussons la logique jusqu’à travailler la convivialité du cockpit, la facilité d’accès à bord…

mocratiser la voile, ça nous semble une belle mission ! Et vous qu’en pensez-vous ?