Surprenez-vous ! Offrez-vous une révolution…

S’il n’est pas le premier à tourner le dos aux étraves pointues, le chantier SailScow extrapole les étraves rondes et s’inspire des carènes de scow du 19ème siècle. Son modèle phare, le Sailscow 37 de 10.80 m, rend accessible au plus grand nombre le plaisir de la voile. Comment ? En vous offrant plus de cap, plus d’habitabilité, de sécurité, de stabilité et de facilité de manoeuvre !

Inspiré par l’histoire mais revisité grâce aux moyens techniques et aux équipements d’aujourd’hui, l’Optimum 10.80 est plein de (bonnes) surprises. S’il fallait résumer en un mot sa différence, ce serait le VOLUME… et tous les bénéfices qu’on en tire !

Plus de cap, plus à plat : vive l’efficacité !

L’étrave plus carrée que ronde et les bouchains de la coque diminuent drastiquement la gîte et permettent de faire un bien meilleur cap que les voiliers traditionnels, condamnés à tirer de longs bords.  Une gîte limitée est un facteur de sécurité et d’aisance pour tous. Cela permet aussi, quand on est joueur, de porter davantage de toile, plus longtemps !

Ces facteurs permettent d’aller plus vite d’un point à un autre, d’autant que la carène du bateau le rend plus enclin à escalader la vague qu’à la fendre ! Bien entendu le potentiel vitesse, au portant, s’exprime encore mieux.

Une habitabilité surprenante !

Grâce à ces formes, le volume intérieur permet de proposer de 2 à 4 cabines dans un bateau de moins de 11 m. C’est totalement inédit !

Fini le traditionnel lit breton à l’avant, rarement confortable. Vous disposez soit d’une cabine propriétaire digne d’un yacht de luxe, soit de deux cabines confortables, avec de vrais lits « comme à la maison » de 140 x 200 cm.  Vous achetez vos draps et housses de couette au format standard, c’est quand même mieux que sur mesure !

A l’arrière vous pouvez opter pour deux cabines, l’une double, l’autre équipée de lits superposés ou pour une cabine double et une soute – qui sert alors à stocker du matériel ou des vivres, vélos etc. Cette dernière option est bien sûr à envisager pour la grande croisière.

Enfin, et c’est inédit : l’ergonomie du bateau est tellement optimisée qu’on y ajoute facilement deux cloisons étanches aux extrémités avec :

  • à l’avant un crash box moussé qui laisse aussi de la place pour stocker les voiles
  • à l’arrière une autre cloison étanche – située en avant des mèches de safrans – ce qui réduit drastiquement le risque de couler en cas de collision ou d’attaque d’orques… puisque cela devient un vrai sujet :-/

L’espace facilite la vie en mer comme à terre !

Le carré et la cuisine sont aménagés pour accueillir 8 à 10 personnes. Diverses astuces facilitent la circulation et le partage de l’espace de vie (comme l’îlot central, les wc séparés de la salle de bains, ou le roof panoramique qui ouvre l’espace).

Par ailleurs, la plage avant est forcément beaucoup plus large que sur les autres voiliers : c’est un espace en plus qui permettra de stocker l’annexe par exemple ou de s’offrir un espace bain de soleil, au mouillage ou au port !

Disposer de plus de volume, ça simplifie la vie :  les déplacements sur le pont sont moins acrobatiques, on stresse moins pour les enfants ou les invités. Cela facilite aussi l’accès aux ports et aux mouillages, puisque le tirant d’eau limité à 1,90m permet de fréquenter la très grande majorité des ports (au delà de 2 m, c’est souvent plus  compliqué). Mais nous ne nous arrêtons pas là : nous poussons la logique jusqu’à travailler la convivialité du cockpit, la facilité d’accès à bord…

mocratiser la voile, ça nous semble une belle mission ! Et vous qu’en pensez-vous ?

Et si le luxe, c’était concilier espace… et économies ?

Un tel titre peut paraître paradoxal. En effet vous savez comme nous que le nautisme est un plaisir coûteux et que plus un bateau est grand, plus il coûte cher à l’achat, à l’entretien etc. Mais dans le cas du Sailscow et grâce à son design, le volume de la coque s’avère un vrai atout financier !

En effet aujourd’hui les prix des places de ports sont calculés au mètres carrés. Les Sailscow  du fait de leur forme plus carrée que pointue sont favorisés au regard des voiliers à étrave. Sur le 37 pieds, ils peuvent accueillir 3 à 4 cabines ! Ils sont donc en proportion moins coûteux : un voilier à étrave classique devra avoir 2 ou 3 m de plus de coque pour avoir la même habitabilité, et occupera donc plus de surface au port !

Par ailleurs le gréement, l’accastillage, le moteur, les voiles et tous les équipements sont dimensionnés à la taille d’un bateau de 10.80 mètres (pour le 37 pieds). Ils coûteront donc moins chers en carburant, équipements, entretien et consommables qu’un bateau plus grand. Idem bien entendu pour la mise au sec, les assurances, les taxes et les coûts liés au carénage et à l’entretien du bateau !

Enfin, en grand voyage, on constate empiriquement que les voiliers de taille modérée sont souvent moins sollicités par les boat boys ou « visités » par les voleurs que les gros bateaux…

C’est donc définitivement un atout d’être petit de l’extérieur, mais grand à l’intérieur !

Sailscow ou catamaran : la question est posée…

Quelle idée de comparer un monocoque et un multicoque, ce sont deux philosophies qui s’affrontent ! Certes, mais à bien y regarder, avec ses carènes atypiques, la gamme Sailscow s’affirme comme une véritable alternative entre mono et multicoque !

A priori, la comparaison n’est pas possible. Un monocoque est un monocoque. Un multi, un multi. La navigation et la philosophie de vie ne sont pas tout à fait les mêmes. Enfin, jusqu’à maintenant…

Aujourd’hui en effet, les Sailscow peuvent être perçus comme un compromis entre les voiliers de série usuels et les premières gammes de catamarans.

Osons quelques comparaisons pour mieux comprendre :

Bref, on ne cherche pas à convertir les pro-multicoques – on en connaît parmi nos amis, on ne voudrait pas les perdre ! Mais quand même… ça donne à réfléchir.

  • un Sailscow 10.80 neuf coûtera toujours moins que le plus modeste des catamarans.
  • dans un petit catamaran on trouve généralement 3 ou 4 cabines… Certes, mais sur le Sailscow aussi (dès la version 10.80) !
  • côté volumes intérieurs et espaces de vie sur le pont, le catamaran sera indétrônable…
  • côté « navigation à plat » idem, le Sailscow sera quand même battu par le cata…
  • … mais il sera plus performant au près,
  • plus agréable à barrer (les sensations, ça compte !)
  • … et surtout plus sécurisant dans les mers fortes (grâce à une quille profonde, fixe ou relevable selon le programme) !
  • Côté équipements, maintenance et coûts au port, le Sailscow coûtera bien moins cher, ne serait-ce que parce qu’il n’a qu’un moteur à alimenter et entretenir, au lieu de deux… (pour en savoir plus sur toutes les économies liées à cette carène, suivez ce lien).

Allez, dites nous ce que vous pensez de ce comparatif !

De l’art d’être rapide, sans être sportif !

Avez-vous remarqué ? Tous les constructeurs de voiliers dans leurs pubs et catalogues insistent moins sur les qualités marines de leurs bateaux que sur « le confort » et « la performance », servis à toutes les sauces… Mais pourquoi donc ?

A coups de comparaisons, de synonymes et d’images idylliques, qu’on vante le Bavaria le plus bas de gamme ou le Amel le plus luxueux, ces deux qualités sont en permanence revendiquées. Un phénomène bien étrange n’est-ce pas ? D’autant que le confort et la vitesse ne font pas toujours bon ménage dans la vraie vie, en mer !

Ces deux attributs sont dans les faits très diversement représentés, selon la taille, la forme de la carène, mais aussi le mode de construction, la raideur du bateau etc. On voit bien d’ailleurs dans les positionnements des marques que ces critères sont les arbitres du marché. Tout en feignant de concilier l’inconciliable, les constructeurs prennent parti : souvent pour le confort et l’habitabilité, et plus rarement pour la vitesse et la sportivité, au risque de la rusticité.

Chez Sailscow on n’aime pas l’idée de vous obliger à faire un choix. On vous offre le meilleur des mondes, grâce aux atouts de cette carène de scow : l’espace et des aménagements faciles à vivre et cosy, mais aussi la rapidité et la stabilité qui rassurent tout le monde.

Surtout, on ne prétend pas faire des bateaux sportifs… même s’ils sont par nature rapides. La carène est planante, mais y compris à des vitesses excitantes, le bateau ne gîte pas outre mesure. Moins large que les bateaux de même gamme, le Sailscow dans ses deux versions est sécurisant et rassurant. Si votre but est de travailler vos abdos au rappel à 5 m au dessus de l’eau, ou de jouer d’ingéniosité pour préparer le café à 30 degrés de gîte… nous saurons vous orienter vers d’autres projets 🙂

Pour vivre à bord longtemps et surement, que ce soit au port ou en grande croisière, il est de toute façon primordial de gérer son énergie. A part les coureurs océaniques, professionnels ou amateurs, dont nous admirons les prouesses, la plupart d’entre nous apprécient de naviguer en gérant leurs efforts et maximisant leur plaisir ! C’est là toute notre philosophie.

D’ailleurs il semble bien que l’avenir de la voile – qui se dessine à travers les magnifiques prototypes des coureurs des mers – s’oriente en ce sens.

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